La « bioéconomie » englobe un large éventail de domaines, allant de l’agriculture, de la pêche, de la sylviculture et de l’aquaculture durables à la fabrication de denrées alimentaires et d’aliments pour animaux, en passant par la biotechnologie, les produits et la bioénergie.

La bioéconomie se distingue par la fusion de la biotechnologie et de la technologie, tout en offrant des possibilités d’investissement dans la nature classique. La manière dont les plus grandes économies du monde choisiront d’adopter et de défendre une bioéconomie moderne déterminera en grande partie notre relation avec la nature, le commerce et la question de savoir si elle est finalement régénératrice et positive pour la nature.

Et si nous considérons l’économie sous l’angle de la bioéconomie, nous pouvons voir un vaste paysage d’investissement potentiel dans la conservation de la nature et les technologies de pointe, ce qui pourrait fournir la prochaine série de possibilités de marché et de moyens de subsistance.

Un nouvel inventaire mondial rédigé par NatureFinance et FGV-CES, avec le soutien de dizaines* d’organisations de la société civile, montre qu’avec quelques chevauchements et différences, tous les membres du G20 font déjà progresser une stratégie et des pratiques en matière de bioéconomie.

Dans cette vidéo de Nature Finance, Txai Suruí, un leader autochtone, souligne l’importance des perspectives des peuples autochtones et des communautés locales pour la bioéconomie. En récompensant ces groupes, on encourage la protection et la restauration de la nature dont dépend la bioéconomie.

 

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